triste !!!

embrayage cassé 26 seconde de perdu putain heuresement kil est cassé alors

istakafen a dit :
embrayage cassé 26 seconde de perdu putain heuresement kil est cassé alors

moorea a dit :
Toujours la même histoire...
09/01/2007 - 15:18

Par SYLVAIN LABBE
De Sports.fr
Après seulement quatre jours de course, le Dakar 2007 est déjà en deuil. La caravane de l'épreuve, déjà particulièrement meurtrie par les disparitions de deux enfants et d'Andy Caldecott l'an dernier, a appris mardi la mort d'un autre motard, le Sud-africain Elmer Symons, au kilomètre 142 de la 4e étape reliant Er Rachidia à Ouarzazate. Agé de 29 ans, Symons effectuait son premier Dakar en tant que concurrent et pointait en 18e position au général. Il est la 48e personne à trouver la mort sur le rallye.

Symons débutait sur les pistes du Dakar... On n'ose l'imaginer et pourtant, à l'annonce mardi d'un énième décès sur la piste du Dakar, qui ne s'est élancé depuis Lisbonne que depuis quatre jours, on craint un nouvel enchaînement de drames comme le fut la dernière édition où, outre la disparition d'Andy Caldecott, le rallye avait déploré les morts de deux enfants, victimes du passage de la caravane de l'épreuve. Le Dakar est lancé et sa triste litanie de deuils avec... C'est ainsi. Et si les organisateurs, en collaboration avec les autorités locales, ont mis en place une batterie de mesures destinées à prévenir un nouveau drame parmi les spectateurs, on frémit à l'idée de voir la course aborder l'Afrique noire, le terrain traditionnellement le plus sensible en matière de sécurité.

Mardi, c'est un concurrent qui a donc trouvé la mort lors de cette quatrième étape reliant Er Rachidia à Ouarzazate, la deuxième sur le territoire marocain. Elmer Symons avait 29 ans et disputait son premier Dakar au guidon d'une KTM. Il était 9h16 quand le PC Course a reçu une alerte en provenance du kilomètre 142 sur les 405 de spéciale que comptait l'étape. Immédiatement, la direction de course envoyait un hélicoptère médical qui, arrivé sur place huit minutes plus tard, ne pouvait que constater le décès du motard sud-africain.

La course continue...

Ce chef d'entreprise spécialisé dans l'exportation de pièces mécaniques des Etats-Unis vers l'Afrique du Sud avait choisi cette année de passer de l'autre côté de la barrière, lui qui ne connaissait jusqu'alors le rallye qu'en tant que mécanicien au sein d'une équipe d'assistance. Après trois étapes disputées, Symons pointait à une intéressante 18e place au classement général. Sa trajectoire s'est brutalement interrompue mardi en début de matinée dans des circonstances que les investigations permettront peut-être de découvrir... Les organisateurs quant à eux devraient se charger d'annoncer la terrible nouvelle à Kingsley Symons, présent sur la course, puisqu'assurant l'assistance technique de son frère.

Mais puisque la course continue, quoiqu'il arrive sur le Dakar, il fallait bien deux vainqueurs mardi à Ouarzazate. Chez les autos, Jean-Louis Schlesser, en habitué des succès marocains - il s'y était déjà imposé en 2006 -, a porté son buggy à la première place du jour sans pour autant chambouler la hiérarchie au général. Débarqué sur cette édition avec un seul bolide, contrairement aux années précédentes où il alignait deux buggys, le vainqueur 1999 et 2000, soumis à des contraintes budgétaires plus serrées, a su faire avec le handicap d'un départ en 12e position pour remonter huit concurrents et s'imposer pour la 14e fois de sa riche carrière dans une spéciale du Dakar. Il devance à l'arrivée de 8 minutes le Touareg VW de Carlos Sainz et la Mitsubishi de Nani Roma de 8'05. Au général, Sainz, s'il conserve la tête, reste un leader fragile à l'image d'un peloton de tête ultra-resserré, les cinq premiers se tenant en moins de... 13 minutes. Un peloton dont Stéphane Peterhansel est écarté après sa mésaventure du jour. Le Français, qui pointait à la 2e place au CP2 (km 309), a cassé son embrayage et perdu dans l'affaire 26 secondes sur le vainqueur du jour.
Chez les motos, l'homme fort de ce début de course se nomme incontestablement... Marc Coma. L'Espagnol, déjà vainqueur la veille, a doublé la mise mardi et ce, malgré son statut, toujours handicapant, d'ouvreur sur la piste marocaine. Creusant son avance tout au long de la journée, la portant jusqu'à 12'16 sur son compatriote Isidre Esteve sur la ligne d'arrivée, l'Espagnol s'est emparé de la tête au général avec déjà un joli matelas de... 11'50 sur Esteve! Dire que l'Ibère a déjà écrasé le rallye serait sans doute un peu prématuré, mais à voir un Cyril Despres, dont la 3e place en trompe-l'oeil... ne trompe justement personne, lui qui, perdu sur une fausse piste, a encore abandonné vingt minutes à son rival, désormais relégué à près de trois-quarts d'heure, le décor est déjà bien campé...

istakafen a dit :

26 secondes sur le vainqueur du jour.