Allez zou !!
Je me lance pour mon mini CR.
Voilà le problème, ça fait à peu près un mois qu’il pleut à verse dans notre plate région (loire- atlantique). Et là, miracle, un soleil de fou en ce dimanche. Du coup, y’a pas a hésiter, on part user de la tétine.
On part donc à 2, découvrir un nouveau coin qu’on nous a conseillé, mais comme pour pas mal de monde j’imagine, on comprend exactement d’où il faut partir, mais ou bout de 2 kilomètres, on se rend bien compte qu’on a rien écouté pour la suite de l’itinéraire. Mais bon, c’est pas grave, on improvise (il faut donc comprendre qu’on emprunte les routes goudronnées…
Finalement, on trouve pas mal de chemins, le problème est qu’ils sont tous plus boueux les uns que les autres. Mais, il faut bien se l’avouer, on est comme des petits porcinets devant la marre : on plonge. Que c’est bon tous ces bourbiers sur des kilomètres et des kilomètres. La moto saucissonne dans tous les sens autant qu’une pouffette qui roule du cul à la sortie de la discothèque.
Tous se passe pour le mieux, comme c’était le premier jour de beau temps, on croise pas mal de promeneurs. On applique la procédure d’urgence : on se pose sur le ralenti, on fait un sourire à un million de dollar, et on sort son plus joyeux « bonjour ! »
Et miracle, à chaque fois tout se passe bien.
On continue alors.
On retrouve du goudron sur 1 petit kilomètre, et on s’apprête à tourner dans un chemin quand sortait de ce chemin justement un groupe d’une quinzaine de randonneuses (j’arrête tout de suite les esprits les plus lubriques : des randonneuses d’une soixantaine d’année…
La première nous fait des grands signes toute énervée, on s’arrête, et on sent que ça va être parti pour une demie heure de dialogue de sourds.
Et là, miracle, les madames voulaient juste taper la discute, toutes plus gentilles les unes que les autres. On me la fait pas à moi, elles voulaient draguer du biker les vieilles piétonnes…
Donc tout se passe bien…. Jusque là. Mais arrive d’un peu plus loin la dernière des randonneuses qui brandit son bâton de marche en nous criant dessus : »vous êtes des irrésponsables !!! vous détruisez les chemins !!! vous pourrissez la nature !!!.... »
Et là on se dit que oui, il en reste toujours quelques un.
On aurait pu continuer à se faire allumer longtemps comme ça, mais toutes ses copines piétonnes la regardaient avec des gros yeux, la laissaient parler, jusqu’à se qu’on entende un magnifique et jouissif : « mais tu vas la fermer ta gueule !!! »
On a trcé, en les laissant s’expliquer. Jouissif je vous dit.
De toutes manières, pour le défoncer ce chemin, il aurait fallu être fort parce que plus carrossable, tu meurs. Manquait plus que des bandes blanches. Pour y faire des trous, il aurait fallu faire exploser la moto. Je vois que ça moi.
Et j’arrête là mon car, car j’ai un client qui rentre.
@+
Les 18 commentaires de cette publication.
j'oubliais une petite ombre au tableau.
on se retrouve dans un chemin qui était plus un champ de boue ou alors une piste de cross pour char leclerc... quand au bout de quelques km, ma moto avais de plus en plus de mal à avancer, et puis après j'avais un drôle de bruit au niveau de ma chaine.
je m'arrete, et là stupeur!!!
un fil de fer complètement coincé dans ma chaîne et enroulé sur le moyeu arrière.
une magnifique galère pour essayer d'enlever cette merde de fil de fer.
je me dis que c'est la faute à pas de chance, que ça paut arriver qu'un scoot perde ses 3 mètres de fil de fer dans une flaque pendant sa randonnée...
bref, on repart avec le sourire, quand 10 minutes plus tard, kling! kling! kling!.
un autre dans la jante avant du pote
ça commence à énerver un piti peu
c'est marrant comme le manque de dialogue ne va que dans un sens.
moi on me prendrait pour un psychopathe si je chopais un randonneur, et que je lui saucissonnais les chaussures avec du fil de fer
bvrracing a dit :
très bon ! c'est bien fait pour la vieille lucette de s'être fait engueuler par ses copines ! non mais !2 beuax gosses comme eux, on va pas les engueuler non ???
![]()
plagiste a dit :
j'oubliais une petite ombre au tableau.
on se retrouve dans un chemin qui était plus un champ de boue ou alors une piste de cross pour char leclerc... quand au bout de quelques km, ma moto avais de plus en plus de mal à avancer, et puis après j'avais un drôle de bruit au niveau de ma chaine.
je m'arrete, et là stupeur!!!
un fil de fer complètement coincé dans ma chaîne et enroulé sur le moyeu arrière.
une magnifique galère pour essayer d'enlever cette merde de fil de fer.
je me dis que c'est la faute à pas de chance, que ça paut arriver qu'un scoot perde ses 3 mètres de fil de fer dans une flaque pendant sa randonnée...
bref, on repart avec le sourire, quand 10 minutes plus tard, kling! kling! kling!.
un autre dans la jante avant du pote![]()
![]()
![]()
ça commence à énerver un piti peu
c'est marrant comme le manque de dialogue ne va que dans un sens.
moi on me prendrait pour un psychopathe si je chopais un randonneur, et que je lui saucissonnais les chaussures avec du fil de fer![]()
mis à part toutes ces pitites blagues.
vous enrencontrz souvent des soucis du genre fils de fer dans les chemins, talus, pièges, strip teaseuses (non pardon, je m'emporte, c'est mon côté latin)..
ou alors je suis le seul à rouler sur les terres de randonneurs et fermiers du troisième reich.
comme toi, l'année derniere j'ai aussi rencontré un fils de fer, qui s'est accroché aussi autour de mon moyeu, disque, freins, pistons, plaquettes. Quelles galere a enlevé, et le risque de peter quelque chose.
Mais bon, je me suis dis:"Il pousse de droles de choses dans les bois"