Bon, il est vrai qu'il ne fait pas un super temps (30-40 cm de neige 😕) et quand je sort, au bout d'une demi-heure, le moteur commence à ratatouiller: plus de reprise, plus d'accélèration. Après vérification, ce pourait être le carburateur qui gèle 😳
Est-ce que quelqu'un à déjà rencontré ce problème et peut-on le résoudre?
Les 26 commentaires de cette publication.
pfff... ça fait deux fois qu'un gars se plaint du givrage carbu de sa 125 exc ?? 😳
je roule aussi dans la neige et par grand froid sans probléme 😕
Et je ne sais pas pourquoi ?
Ni comment resoudre ton problème ?
Il y a des gars qui pissent sur leur carbu, sans rire ! j'espere ne pas en arriver là 😕 😃
Ce problème arrive fréquement sur les machines qui marchen au gasoil brut comme les tracteurs; lorsqu'il fai trop froid, le gasoil se fige et il faut changer le filtre a gasoil, vidanger le reservoir et rajouter de l' antigel dans ton mélange.
Peut être qu' en mettan de l' antigel dans ton carburan, tu resoudrai ton probleme, (il fau t faire atetion car c' est un produit fai pour les tracteurs)
je pense pas que se soit l'essence qui gèle, le gazoil c'est différent, il fige au froid, Je me demande plutôt si ce givre qui se forme dans le carbu ne provient pas de l'humidité ambiante de l'air qui est aspirée et qui viendrait givrer le cabu, d'autant plus que l'air qui est aspiré est accéléré et donc favorise la baise de tempéture du bloc carbu.
Un corps donné peut exister sous différentes phases. Ainsi l'eau, au sein de l'atmosphère, se trouve sous trois formes :
- vapeur.
- liquide (pluie et gouttelettes d'eau qui rentrent dans la composition des nuages).
- solide (neige, grêle, cristaux de glace se trouvant dans les nuages).
La vapeur d'eau est un gaz invisible. La condensation est le passage de l'état gazeux (vapeur d'eau) à l'état liquide. Elle intervient sous des conditions thermodynamiques bien définies.
La température est le principal paramètre physique qui régit ce phénomène. A une température donnée correspond une pression de vapeur saturante bien déterminée qui définit la quantité maximale d'eau pouvant être sous forme gazeuse. Plus la température est grande, plus ce seuil est élevé. A 100 °C, par exemple, la pression de vapeur de l'eau est égale à la pression atmosphérique.
Si on considère un certain volume de vapeur d'eau à une certaine température qui correspond justement à la pression de vapeur saturante et que l'on essaie de rajouter des molécules d'eau sous forme de vapeur celles-ci seront d'une certaine manière obligées de se rassembler, en d'autres termes de se condenser, pour tenir le moins de place possible afin que la pression ne dépasse pas la valeur maximale autorisée. Cet excédent de molécules de vapeur d'eau se transforme alors en eau liquide : c'est la condensation.
La condensation, comme tout autre phénomène de changement de phase, s'accompagne d'échange d'énergie très importants. On définit la chaleur latente d'un corps comme l'énergie qu'il faut fournir à un kilogramme du corps concerné pour le faire passer, à température et pression constante, d'une phase de basse température (par exemple liquide) à une phase de haute température (gaz). Pour réaliser le phénomène inverse le corps perd cette quantité de chaleur. Il en résulte que la condensation est un phénomène qui libère de l'énergie ("dégage de la chaleur"). La condensation intervient dans la formation des nuages mais aussi dans celle du brouillard, de la rosée et du givre.
Notons qu'en toute rigueur l'état liquide de l'eau correspond à un nombre important de molécules rassemblées en un même point, ce qui statistiquement, est peu probable. Ceci implique que la condensation n'aurait lieu que si l'état de saturation était bien avancé. En réalité, un autre phénomène intervient : les impuretés en suspension dans l'atmosphère jouent le rôle de noyaux de condensation , elles piègent les molécules d'eau sous forme de vapeur donc les amènent à se condenser en un même point dès le début de la saturation.
😃 Facile non ?
Huskyboy43 :
mais si, il fallait que je rajoute mon grain de sel, c'est tout |