et si les problemes de repression pour nous enduristes randonneurs 2 roues venaient de ca
qu'en pensez vous ?
Marché du quad 2004 : l'euphorie !
Conduisible avec un simple permis B "automobile", le quad homologué remporte un succès croissant en France. En 2004, il s'en est immatriculé 41 000, contre tout juste 13 000 en 2003.
S'appuyant sur la réglementation des "quadricycles à moteur", les quads homologués bénéficient aujourd'hui d'une réglementation extrèmement favorable. En effet, ils sont homologués pour un usage sur route, leur cylindrée et leur vitesse sont libres et leur conduite ne nécessite qu'un simple permis B "automobile". La seule restriction qui leur est appliquée concerne la puissance du moteur, limitée à 20 ch.
Dès lors, une trentaine de marques se sont lancées sur ce nouveau marché, qui pèse 40 885 immatriculations en 2004, contre 12 881 en 2003 ! A noter que seules les quatre grands constructeurs japonais (Honda, Kawasaki, Suzuki et Yamaha) ne sont pas présents sur ce marché, limitant leurs productions aux versions sportives (non homologuées sur route) ou agricoles (limitées à 25 km/h).
A l'inverse, MSA, distributeur de la marque taïwanaise Kymco dans une partie de l'Europe, a cru très tôt en ce marché et a développé une gamme de quads très compétitive. Un investissement qui paye aujourd'hui, avec 15 435 unités immatriculées en 2004, soit 38 % de parts de marché. En septembre dernier, Kymco a même présenté l'Urban Quad 250 cm3, le premier quad réellement adapté à un usage routier, développé en collaboration avec le champion automobile Alain Prost.
La quasi totalité des quads homologués vendus en France sont d'origine chinoise ou taïwanaise. En montant en gamme (300 à 650 cm3, 4 roues motrices, 7 à 13 000 euros), on trouve plutôt des produits japonais, italiens et américains.
Pour 2005, les professionnels du secteur restent optimistes, estimant que ce marché possède encore une belle marge de manœuvre. Mais 2005 pourrait aussi marquer la fin de la période d'apprentissage, avec un renforcement des marques les plus solidement implantées, au détriment des nouveaux arrivants.
Pascal Litt
Marché du quad homologué 2004 Total : 40 885 (+ 217 %)
1.Kymco : 15 435
2.Linhai : 5 346
3.SMC : 4 098
4.Polaris : 2 669
5.Barossa : 2 146
6.PGO : 1 805
7.Bombardier : 1 698
8.Adly : 1 043
9.Aeon : 915
10.Dinli : 781
Divers : 4 949
Les 3 commentaires de cette publication.
| rabiche : et si les problemes de repression pour nous enduristes randonneurs 2 roues venaient de ca qu'en pensez vous ? Marché du quad 2004 : l'euphorie ! Conduisible avec un simple permis B "automobile", le quad homologué remporte un succès croissant en France. En 2004, il s'en est immatriculé 41 000, contre tout juste 13 000 en 2003. S'appuyant sur la réglementation des "quadricycles à moteur", les quads homologués bénéficient aujourd'hui d'une réglementation extrèmement favorable. En effet, ils sont homologués pour un usage sur route, leur cylindrée et leur vitesse sont libres et leur conduite ne nécessite qu'un simple permis B "automobile". La seule restriction qui leur est appliquée concerne la puissance du moteur, limitée à 20 ch. Dès lors, une trentaine de marques se sont lancées sur ce nouveau marché, qui pèse 40 885 immatriculations en 2004, contre 12 881 en 2003 ! A noter que seules les quatre grands constructeurs japonais (Honda, Kawasaki, Suzuki et Yamaha) ne sont pas présents sur ce marché, limitant leurs productions aux versions sportives (non homologuées sur route) ou agricoles (limitées à 25 km/h). A l'inverse, MSA, distributeur de la marque taïwanaise Kymco dans une partie de l'Europe, a cru très tôt en ce marché et a développé une gamme de quads très compétitive. Un investissement qui paye aujourd'hui, avec 15 435 unités immatriculées en 2004, soit 38 % de parts de marché. En septembre dernier, Kymco a même présenté l'Urban Quad 250 cm3, le premier quad réellement adapté à un usage routier, développé en collaboration avec le champion automobile Alain Prost. La quasi totalité des quads homologués vendus en France sont d'origine chinoise ou taïwanaise. En montant en gamme (300 à 650 cm3, 4 roues motrices, 7 à 13 000 euros), on trouve plutôt des produits japonais, italiens et américains. Pour 2005, les professionnels du secteur restent optimistes, estimant que ce marché possède encore une belle marge de manœuvre. Mais 2005 pourrait aussi marquer la fin de la période d'apprentissage, avec un renforcement des marques les plus solidement implantées, au détriment des nouveaux arrivants. Pascal Litt Marché du quad homologué 2004 Total : 40 885 (+ 217 %) 1.Kymco : 15 435 2.Linhai : 5 346 3.SMC : 4 098 4.Polaris : 2 669 5.Barossa : 2 146 6.PGO : 1 805 7.Bombardier : 1 698 8.Adly : 1 043 9.Aeon : 915 10.Dinli : 781 Divers : 4 949 |
ouai, je pense un peu pareil, faut arreter de chercher des excuses de ci et de la...les choses sont posées maintenant...
Il est tant d'agir...la question c plus..."de qui c'est la faute ???"...
mais "comment pouvons nous faire maintenant ,??"...
qu'est ce qu'on peux mettrene place, que faut il faire, ne pas faire...
comment se comporter...etc...
pour moi le reste n'est que du temps et de l'enerie de perdu...
Yann
je consulte ces pages depuis peu de temps et je n'ai surement pas tout lu en ce qui concerne la pratique de la moto verte et plus specifiquement la balade TT.Je suis moi même pratiquant (250 gas hors d'age)et habitant dans une petite commune de la Loire j'ai eu plusieurs fois l'occasion d'aborder le sujet avec certains élus.
Voici une analyse du problème-car il y a un problème- qui vaut ce qu'elle vaut et qui ne demande qu'à évoluer.
J'aime bien écouter les anciens qui nous parlent de l'age d'or de l'enduro et de la balade, ce qu'ils disent est souvent vrai et fait réver, ils nous parlent de libérté, de découverte. il suffit de se replonger dans les premiers numéros de ''Moto Verte'' pour s'en convaincre. Mais il ne faut pas perdre de vue qu'à l'époque c'était un loisir quand même élitiste et le nombre de moto circulant dans les chemins était suffisemment réduit pour que tout le monde s'en accomode. Un des plus gros problème de notre discipline c'est qu'elle devient un loisir de masse et si ilya 20 ans on avait peu de chance de croiser les 10% d'abrutis qui ne respectent rien pendant la promenade dominicale(vous savez celle qui est obligatoire après le café et le pousse, histoire de ne pas s'endormir en famille)aujourd'hui ils sont 10 ou 100 fois plus nombreux même si leur pourcentage n'augmente pas.
Par ailleurs je ne suis pas persuadé que les municipalités sont systématiquement les ennemis de la moto verte. Il y en a c'est certain. Il faut quand même garder à l'esprit que l'entretien d'un réseau de chemin, la gestion des problèmes provoqués par des riverains irrascibles et bien d'autres choses liées à la moto leur incombent en plus des affaires générales d'une commune et bien souvent les motards ne sont ni élécteurs ni acteurs économiques de cette dernière. Les riverains oui.En résumé, la moto verte coute aux communes sans rien leur rapporter; peut-être une piste?
Pour finir, car je viens de m'apercevoir que ça commence à être long, je voudrais mettre en cause les concessionnaires et les marques (moto ou accessoires)à qui la moto rapporte beaucoup et que l'on entend jamais prendre position sur le sujet. Il me semblerait utile qu'ils fassent preuve d'un peu de sens civique eux aussi. Cela leur coûterait si peu d'éduquer le client qui vient d'acquérir son quad (c'est vrai qu'on en croise de plus en plus)et qui va pour la première fois découvrir la nature et les joies de la balade, voire se tirer un peu la bourre quand les conditions le permettent. quant aux fabricants, vu la quantité de prospectus sur papier glacé (pas très écolo non plus ça)qu'ils éditent, ils pourraient en faire un de temps en temps qui traiterait du respect de l'environnement et des règles de savoir vivre minimum à connaitre dans les chemins. ce sont les mêmes que sur la route d'ailleurs, ceci explique peut être cela.
Bon j'ai assez tenu le crachoir.
Merci 🙄