La Z1000 fait son grand retour pimpée pour Euro5+ en passant à 1100. Cet essai de la Kawasaki Z1100 plonge dans la mémoire mais pas seulement puisqu'elle apporte quelques petits aménagements à l'entame de cette nouvelle carrière à la fin de l'année 2025.
Essai Kawasaki Z1100
En 2001 apparaissait la Z1000 qui quitta la scène en 2020. Une belle carrière mais aussi un trou dans la catalogue Kawasaki entre la Z650 et la Z H2, la Z900 étant un peu différente. Ce trou est maintenant comblé avec l'arrivée de la Z1100 qui s'inspire de la Z1000 de 2014 pour le dessin au moins mais avec un unique silencieux à droite. Pas mal de petites choses arrivent en même temps notamment parce que ce roadster est maintenant équipé d'un accélérateur électronique et d'une centrale inertielle.
De Z1000 à Z1100, qu'est ce qui change ?
Evidemment, le moteur puisqu'il gagne quelques cm3 pour atteindre 1099 cm3 et passer les normes Euro5+ mais pas seulement. D'un point de vue esthétique il faut ouvrir l'oeil mais on a un nouveau garde-boue avant, le simple silencieux à droite à la place d'un de chaque côté, le petit sabot moteur, le saute-vent rikiki, l'éclairage à LED et les disques de freins qui ne sont plus en pétales mais ronds tout simplement. Du côté de l'électronique, il y a du changement aussi avec l'arrivée de la commande des gaz par l'électronique à la place d'un câble et d'une centrale inertielle. Ça permet d'avoir des modes de conduite, un contrôle de traction, l'ABS en courbe, un shifter à la montée et à la descente ainsi qu'un régulateur de vitesse que certains attendent toujours sur une moto. Tout ceci se paramètre via le tableau de bord TFT en couleurs de 5 pouces comme sur la Z900. Ceux qui réclamaient le retour de la Z1000 seront combler de voir qu'elle revient en gardant ses traits principaux. Qu'en est-il de son caractère ?
Kawasaki Z1100 avec un style identique ou presque à la Z1000
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