La gamme du constructeur chinois s'étoffe avec ce roadster animé par un moteur 4 cylindres en ligne dispo en A2. Le QJ Motor SRK 800 fait son entrée dans la gamme en profitant des améliorations de la sportive, un cadre aluminum et le ride-by-wire. Essai.
Essai QJ Motor SRK 800
La marque est en pleine croissance sur la marché français pour deux raisons. La première est que les motos correspondent de plus en plus à nos attentes et la seconde est que l'offre s'étoffe de plus en plus. C'est ainsi qu'on voit arriver cette QJ Motor SRK 800, un roadster animé par un moteur 4 cylindres en ligne, un moteur en voie de disparition pour des moyennes cylindrées notamment toutes les motos disponibles avec un permis A2. La SRK 800 est disponible en version 35 kW ou 70 kW, c'est-à-dire 95 chevaux comme celle de cet essai.
Base commune avec la SRK 800 RR
La SRK 800 RR, la sportive, et notre SRK 800 partagent pas mal de choses dont les améliorations apportées à la RR. C'est ainsi qu'on trouve un nouveau cadre périmétrique en aluminium à la place de celui en acier qui équipait la RR et une commande des gaz ride-by-wire qui nous permet de profiter de 3 modes de conduite assez distincts et du régulateur de vitesse. Les modes ne sont pas faciles à changer puisqu'il faut aller dans les menus alors qu'il y a un bouton dédié au comodo gauche pour supprimer l'anti patinage. On peut dire que QJ Motor s'est contenté d'enlever le carénage de sa sportive et de changer le guidon pour nous proposer le roadster SRK 800 qui est ainsi animé par un moteur 4 cylindres en ligne de 95 chevaux.
Ligne dynamique et moderne pour cette SRK 800 dérivée de la sportive RR
Cette puissance est haut perchée, à 10000 tr/min mais comme tout bon 4 pattes qui se respecte, il ronronne dès 2000 tr/min sans souci mais c'est autour des 5000 tr/min qu'on roule le plus souvent. On peut percevoir des vibrations entre 7000 et 7500 tr/min selon la phase de conduite, quelques irrégularités du ride-by-wire lorsqu'on coupe les gaz brusquement et une sélection parfois chaotique à la montée notamment sur les premiers rapports avec le shifter, mais tout ceci n'est pas systématique. La majeure partie du temps sur cet essai de la SRK 800, on trouve tout ce qu'on attend d'un 4 cylindres de cette cylindrée, c'est-à-dire de la disponibilité sur une large plage et des performances faciles à exploiter. C'est intéressant lorsqu'on débute mais pas seulement puisqu'il y a réellement moyen de se faire plaisir au guidon de cette QJ.
Moteur 4 cylindres de 95 chevaux et 778 cm3, cela devient rare sur le marché
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